Goulven, Frère Pardon, Bd prix mini, EO Tome 1, Les eaux de Theodeus

 3,99

Goulven, Frère Pardon, Bd prix mini, EO Tome 1, Les eaux de Theodeus

Album cartonné, 48 pages, impression couleur.

Edition Soleil, 2001, Edition Originale du Tome 1

ISBN : 2-84565-035-3

En stock

UGS : sol-alfrepar1 Catégorie :

Description

Goulven, Frère Pardon, Bd prix mini, EO Tome 1, Les eaux de Theodeus

Quatre lascars terrorisés chevauchent de curieuses montures, fuyant quelque effrayante menace. Dans une poudroiement de mauvaise augure, leur poursuivant apparaît. Son nom ? Frère Pardon. A peine apparu, et sans qu’aucun mot ne soit dit, le carnage commence. La suite tient de là. On ne peut cependant pas réduire la lecture de cet album insolite aux scènes de massacres et de décapitations en tous genres qui pourtant, abondent, et qu’annonce très bien un dos de couverture à l’image et à la préface très explicites. Ce qui fait l’intérêt de Frère Pardon, au-delà des tueries et des injustices qui y sont monnaie courante, c’est d’abord la solide tranche d’humour noir, assaisonnée par des auteurs inventifs à la plume audacieuse. Le personnage principal, parfait prototype de l’antihéros, incarne une sorte de perfection tant il est repoussant et antipathique. Et d’est justement ce trait de caractère qui fait toute la saveur d’un livre par lequel on est d’abord rebuté, et qui demande une seconde lecture (afin d’adopter le filtre approprié à la compréhension de l’oeuvre). On éprouve en effet une sorte de réjouissance à l’évocation de cet abominable personnage aux manières cocasses, qui représente dans son exagérante et difforme musculature l’accomplissement de l’anti-héros. Les auteurs prêtent d’ailleurs à ce rustre ignare et imbu de niaise bigoterie un délicieux parler moyenâgeux. La langue courtoise de la littérature médiévale est très bien rendue et souvent utilisée dans des contextes qui la rendent hilarante.Quatre lascars terrorisés chevauchent de curieuses montures, fuyant quelque effrayante menace. Dans une poudroiement de mauvaise augure, leur poursuivant apparaît. Son nom ? Frère Pardon. A peine apparu, et sans qu’aucun mot ne soit dit, le carnage commence. La suite tient de là. On ne peut cependant pas réduire la lecture de cet album insolite aux scènes de massacres et de décapitations en tous genres qui pourtant, abondent, et qu’annonce très bien un dos de couverture à l’image et à la préface très explicites. Ce qui fait l’intérêt de Frère Pardon, au-delà des tueries et des injustices qui y sont monnaie courante, c’est d’abord la solide tranche d’humour noir, assaisonnée par des auteurs inventifs à la plume audacieuse. Le personnage principal, parfait prototype de l’antihéros, incarne une sorte de perfection tant il est repoussant et antipathique. Et d’est justement ce trait de caractère qui fait toute la saveur d’un livre par lequel on est d’abord rebuté, et qui demande une seconde lecture (afin d’adopter le filtre approprié à la compréhension de l’oeuvre). On éprouve en effet une sorte de réjouissance à l’évocation de cet abominable personnage aux manières cocasses, qui représente dans son exagérante et difforme musculature l’accomplissement de l’anti-héros. Les auteurs prêtent d’ailleurs à ce rustre ignare et imbu de niaise bigoterie un délicieux parler moyenâgeux. La langue courtoise de la littérature médiévale est très bien rendue et souvent utilisée dans des contextes qui la rendent hilarante.Quatre lascars terrorisés chevauchent de curieuses montures, fuyant quelque effrayante menace. Dans une poudroiement de mauvaise augure, leur poursuivant apparaît. Son nom ? Frère Pardon. A peine apparu, et sans qu’aucun mot ne soit dit, le carnage commence. La suite tient de là. On ne peut cependant pas réduire la lecture de cet album insolite aux scènes de massacres et de décapitations en tous genres qui pourtant, abondent, et qu’annonce très bien un dos de couverture à l’image et à la préface très explicites. Ce qui fait l’intérêt de Frère Pardon, au-delà des tueries et des injustices qui y sont monnaie courante, c’est d’abord la solide tranche d’humour noir, assaisonnée par des auteurs inventifs à la plume audacieuse. Le personnage principal, parfait prototype de l’antihéros, incarne une sorte de perfection tant il est repoussant et antipathique. Et d’est justement ce trait de caractère qui fait toute la saveur d’un livre par lequel on est d’abord rebuté, et qui demande une seconde lecture (afin d’adopter le filtre approprié à la compréhension de l’oeuvre). On éprouve en effet une sorte de réjouissance à l’évocation de cet abominable personnage aux manières cocasses, qui représente dans son exagérante et difforme musculature l’accomplissement de l’anti-héros. Les auteurs prêtent d’ailleurs à ce rustre ignare et imbu de niaise bigoterie un délicieux parler moyenâgeux. La langue courtoise de la littérature médiévale est très bien rendue et souvent utilisée dans des contextes qui la rendent hilarante.Quatre lascars terrorisés chevauchent de curieuses montures, fuyant quelque effrayante menace. Dans une poudroiement de mauvaise augure, leur poursuivant apparaît. Son nom ? Frère Pardon. A peine apparu, et sans qu’aucun mot ne soit dit, le carnage commence. La suite tient de là. On ne peut cependant pas réduire la lecture de cet album insolite aux scènes de massacres et de décapitations en tous genres qui pourtant, abondent, et qu’annonce très bien un dos de couverture à l’image et à la préface très explicites. Ce qui fait l’intérêt de Frère Pardon, au-delà des tueries et des injustices qui y sont monnaie courante, c’est d’abord la solide tranche d’humour noir, assaisonnée par des auteurs inventifs à la plume audacieuse. Le personnage principal, parfait prototype de l’antihéros, incarne une sorte de perfection tant il est repoussant et antipathique. Et d’est justement ce trait de caractère qui fait toute la saveur d’un livre par lequel on est d’abord rebuté, et qui demande une seconde lecture (afin d’adopter le filtre approprié à la compréhension de l’oeuvre). On éprouve en effet une sorte de réjouissance à l’évocation de cet abominable personnage aux manières cocasses, qui représente dans son exagérante et difforme musculature l’accomplissement de l’anti-héros. Les auteurs prêtent d’ailleurs à ce rustre ignare et imbu de niaise bigoterie un délicieux parler moyenâgeux. La langue courtoise de la littérature médiévale est très bien rendue et souvent utilisée dans des contextes qui la rendent hilarante.Quatre lascars terrorisés chevauchent de curieuses montures, fuyant quelque effrayante menace. Dans une poudroiement de mauvaise augure, leur poursuivant apparaît. Son nom ? Frère Pardon. A peine apparu, et sans qu’aucun mot ne soit dit, le carnage commence. La suite tient de là. On ne peut cependant pas réduire la lecture de cet album insolite aux scènes de massacres et de décapitations en tous genres qui pourtant, abondent, et qu’annonce très bien un dos de couverture à l’image et à la préface très explicites. Ce qui fait l’intérêt de Frère Pardon, au-delà des tueries et des injustices qui y sont monnaie courante, c’est d’abord la solide tranche d’humour noir, assaisonnée par des auteurs inventifs à la plume audacieuse. Le personnage principal, parfait prototype de l’antihéros, incarne une sorte de perfection tant il est repoussant et antipathique. Et d’est justement ce trait de caractère qui fait toute la saveur d’un livre par lequel on est d’abord rebuté, et qui demande une seconde lecture (afin d’adopter le filtre approprié à la compréhension de l’oeuvre). On éprouve en effet une sorte de réjouissance à l’évocation de cet abominable personnage aux manières cocasses, qui représente dans son exagérante et difforme musculature l’accomplissement de l’anti-héros. Les auteurs prêtent d’ailleurs à ce rustre ignare et imbu de niaise bigoterie un délicieux parler moyenâgeux. La langue courtoise de la littérature médiévale est très bien rendue et souvent utilisée dans des contextes qui la rendent hilarante.

Informations complémentaires

Poids 0,55 kg
Auteur(s)

Goulven, Joffrain

Editeur

Soleil