Description
En racontant la vie de sa grand-mère, Guiseppina, Marion Laurent en collaboration avec Arnaud Le Roux signe un premier livre délicat et sensible, d’une belle originalité et d’une étonnante maturité. Grâce aux témoignages de personnes qui l’ont bien connue ou seulement croisée, ils reconstituent le passé d’une vieille dame à la mémoire enfuie. C’est l’histoire d’une femme comme les autres, et en cela, elle en devient unique. Marion s’approche de sa grand-mère et lui montre une photographie jaunie par le temps. Une date est inscrite au dos : 10 février 1938. On y voit une jeune femme souriante, heureuse sûrement… Mais ce moment de bonheur ne rappelle rien à Giuseppina. Pourtant, elle se dit que cela pourrait bien être elle… Mais non… Elle n’a jamais été aussi souriante, elle s’en souviendrait. Face à sa grand-mère, Marion ne peut détacher son regard du visage ridé, fatigué, des mains parcheminées, usées, gonflées de vieillesse. Et tout ce dont elle est capable, c’est de pleurer. Que reste-t-il des vingt ans de Giuseppina, de son enfance d’orpheline dans le Piémont, de son arrivée à Paris dans les années 30, de son premier mari, stérile, de son second mariage et de la naissance des enfants ? Qu’elle a donc été la vie de cette jeune femme posant tranquillement pour une photographie prise quarante-deux ans avant sa naissance, à elle, sa petite fille ? Recroquevillée dans sa solitude médicamentée, sans souvenirs, sans mémoire, Giuseppina est-elle vraiment la même que sur ce négatif de la réalité ?En racontant la vie de sa grand-mère, Guiseppina, Marion Laurent en collaboration avec Arnaud Le Roux signe un premier livre délicat et sensible, d’une belle originalité et d’une étonnante maturité. Grâce aux témoignages de personnes qui l’ont bien connue ou seulement croisée, ils reconstituent le passé d’une vieille dame à la mémoire enfuie. C’est l’histoire d’une femme comme les autres, et en cela, elle en devient unique. Marion s’approche de sa grand-mère et lui montre une photographie jaunie par le temps. Une date est inscrite au dos : 10 février 1938. On y voit une jeune femme souriante, heureuse sûrement… Mais ce moment de bonheur ne rappelle rien à Giuseppina. Pourtant, elle se dit que cela pourrait bien être elle… Mais non… Elle n’a jamais été aussi souriante, elle s’en souviendrait. Face à sa grand-mère, Marion ne peut détacher son regard du visage ridé, fatigué, des mains parcheminées, usées, gonflées de vieillesse. Et tout ce dont elle est capable, c’est de pleurer. Que reste-t-il des vingt ans de Giuseppina, de son enfance d’orpheline dans le Piémont, de son arrivée à Paris dans les années 30, de son premier mari, stérile, de son second mariage et de la naissance des enfants ? Qu’elle a donc été la vie de cette jeune femme posant tranquillement pour une photographie prise quarante-deux ans avant sa naissance, à elle, sa petite fille ? Recroquevillée dans sa solitude médicamentée, sans souvenirs, sans mémoire, Giuseppina est-elle vraiment la même que sur ce négatif de la réalité ?En racontant la vie de sa grand-mère, Guiseppina, Marion Laurent en collaboration avec Arnaud Le Roux signe un premier livre délicat et sensible, d’une belle originalité et d’une étonnante maturité. Grâce aux témoignages de personnes qui l’ont bien connue ou seulement croisée, ils reconstituent le passé d’une vieille dame à la mémoire enfuie. C’est l’histoire d’une femme comme les autres, et en cela, elle en devient unique. Marion s’approche de sa grand-mère et lui montre une photographie jaunie par le temps. Une date est inscrite au dos : 10 février 1938. On y voit une jeune femme souriante, heureuse sûrement… Mais ce moment de bonheur ne rappelle rien à Giuseppina. Pourtant, elle se dit que cela pourrait bien être elle… Mais non… Elle n’a jamais été aussi souriante, elle s’en souviendrait. Face à sa grand-mère, Marion ne peut détacher son regard du visage ridé, fatigué, des mains parcheminées, usées, gonflées de vieillesse. Et tout ce dont elle est capable, c’est de pleurer. Que reste-t-il des vingt ans de Giuseppina, de son enfance d’orpheline dans le Piémont, de son arrivée à Paris dans les années 30, de son premier mari, stérile, de son second mariage et de la naissance des enfants ? Qu’elle a donc été la vie de cette jeune femme posant tranquillement pour une photographie prise quarante-deux ans avant sa naissance, à elle, sa petite fille ? Recroquevillée dans sa solitude médicamentée, sans souvenirs, sans mémoire, Giuseppina est-elle vraiment la même que sur ce négatif de la réalité ?En racontant la vie de sa grand-mère, Guiseppina, Marion Laurent en collaboration avec Arnaud Le Roux signe un premier livre délicat et sensible, d’une belle originalité et d’une étonnante maturité. Grâce aux témoignages de personnes qui l’ont bien connue ou seulement croisée, ils reconstituent le passé d’une vieille dame à la mémoire enfuie. C’est l’histoire d’une femme comme les autres, et en cela, elle en devient unique. Marion s’approche de sa grand-mère et lui montre une photographie jaunie par le temps. Une date est inscrite au dos : 10 février 1938. On y voit une jeune femme souriante, heureuse sûrement… Mais ce moment de bonheur ne rappelle rien à Giuseppina. Pourtant, elle se dit que cela pourrait bien être elle… Mais non… Elle n’a jamais été aussi souriante, elle s’en souviendrait. Face à sa grand-mère, Marion ne peut détacher son regard du visage ridé, fatigué, des mains parcheminées, usées, gonflées de vieillesse. Et tout ce dont elle est capable, c’est de pleurer. Que reste-t-il des vingt ans de Giuseppina, de son enfance d’orpheline dans le Piémont, de son arrivée à Paris dans les années 30, de son premier mari, stérile, de son second mariage et de la naissance des enfants ? Qu’elle a donc été la vie de cette jeune femme posant tranquillement pour une photographie prise quarante-deux ans avant sa naissance, à elle, sa petite fille ? Recroquevillée dans sa solitude médicamentée, sans souvenirs, sans mémoire, Giuseppina est-elle vraiment la même que sur ce négatif de la réalité ?En racontant la vie de sa grand-mère, Guiseppina, Marion Laurent en collaboration avec Arnaud Le Roux signe un premier livre délicat et sensible, d’une belle originalité et d’une étonnante maturité. Grâce aux témoignages de personnes qui l’ont bien connue ou seulement croisée, ils reconstituent le passé d’une vieille dame à la mémoire enfuie. C’est l’histoire d’une femme comme les autres, et en cela, elle en devient unique. Marion s’approche de sa grand-mère et lui montre une photographie jaunie par le temps. Une date est inscrite au dos : 10 février 1938. On y voit une jeune femme souriante, heureuse sûrement… Mais ce moment de bonheur ne rappelle rien à Giuseppina. Pourtant, elle se dit que cela pourrait bien être elle… Mais non… Elle n’a jamais été aussi souriante, elle s’en souviendrait. Face à sa grand-mère, Marion ne peut détacher son regard du visage ridé, fatigué, des mains parcheminées, usées, gonflées de vieillesse. Et tout ce dont elle est capable, c’est de pleurer. Que reste-t-il des vingt ans de Giuseppina, de son enfance d’orpheline dans le Piémont, de son arrivée à Paris dans les années 30, de son premier mari, stérile, de son second mariage et de la naissance des enfants ? Qu’elle a donc été la vie de cette jeune femme posant tranquillement pour une photographie prise quarante-deux ans avant sa naissance, à elle, sa petite fille ? Recroquevillée dans sa solitude médicamentée, sans souvenirs, sans mémoire, Giuseppina est-elle vraiment la même que sur ce négatif de la réalité ?En racontant la vie de sa grand-mère, Guiseppina, Marion Laurent en collaboration avec Arnaud Le Roux signe un premier livre délicat et sensible, d’une belle originalité et d’une étonnante maturité. Grâce aux témoignages de personnes qui l’ont bien connue ou seulement croisée, ils reconstituent le passé d’une vieille dame à la mémoire enfuie. C’est l’histoire d’une femme comme les autres, et en cela, elle en devient unique. Marion s’approche de sa grand-mère et lui montre une photographie jaunie par le temps. Une date est inscrite au dos : 10 février 1938. On y voit une jeune femme souriante, heureuse sûrement… Mais ce moment de bonheur ne rappelle rien à Giuseppina. Pourtant, elle se dit que cela pourrait bien être elle… Mais non… Elle n’a jamais été aussi souriante, elle s’en souviendrait. Face à sa grand-mère, Marion ne peut détacher son regard du visage ridé, fatigué, des mains parcheminées, usées, gonflées de vieillesse. Et tout ce dont elle est capable, c’est de pleurer. Que reste-t-il des vingt ans de Giuseppina, de son enfance d’orpheline dans le Piémont, de son arrivée à Paris dans les années 30, de son premier mari, stérile, de son second mariage et de la naissance des enfants ? Qu’elle a donc été la vie de cette jeune femme posant tranquillement pour une photographie prise quarante-deux ans avant sa naissance, à elle, sa petite fille ? Recroquevillée dans sa solitude médicamentée, sans souvenirs, sans mémoire, Giuseppina est-elle vraiment la même que sur ce négatif de la réalité ?