Description
Fred Pontarolo cherche Dieu et le trouve…
là où on ne l’attendait pas : dans une canette de Coca !
En choisissant de raconter le quotidien banal d’un couple de jeunes chicanos de New-York, qui va faire la connaissance de Dieu (James Dieu, pour être exact), Fred Pontarolo signe une fable burlesque, acide et touchante sur ce début de millénaire particulièrement angoissé. Comment ne pas sombrer dans la dépression et la misère quand on est un petit Chicano qui a quitté le Mexique pour venir travailler chez Coca à New-York et qu’on se retrouve sans emploi parce que notre usine a été délocalisée au fin fond de ce fichu Mexique d’où l’on s’est enfui? C’est ce que se demande Juanito au moment d’envoyer valdinguer une canette de la fameuse boisson. Sauf que la canette… se met à parler. C’est Dieu qui vit à l’intérieur… de son vrai nom James Dieu… créateur de la Terre et des hommes – une création particulière d’ailleurs, il s’en souvient encore James, un jour où il avait rendu tout son Label 5, il n’a pas bien compris comment, mais son vomi a donné naissance aux humains (ce qui prouve qu’il faut boire avec modération), même que les copains de l’époque avaient bien rigolé et que ca avait sacrément entaché sa réputation de buveur. Portrait craché d’Elvis période Las Vegas, rouflaquettes au vent et whisky sec dans les dents, éternel séducteur au baratin divin et bien rodé, il tombe à point nommé, celui-là. Juanito pense qu’il est sauvé. Ce n’est pas tous les jours qu’on trouve Dieu dans une cannette de Coca. Malheureusement, James Dieu ne se sent pas une âme de génie de la bouteille et ce monde, soyons honnête, il s’en contrefout grave… alors pas trop question d’y changer quoi que ce soit, hein… Fred Pontarolo cherche Dieu et le trouve… là où on ne l’attendait pas : dans une canette de Coca !En choisissant de raconter le quotidien banal d’un couple de jeunes chicanos de New-York, qui va faire la connaissance de Dieu (James Dieu, pour être exact), Fred Pontarolo signe une fable burlesque, acide et touchante sur ce début de millénaire particulièrement angoissé. Comment ne pas sombrer dans la dépression et la misère quand on est un petit Chicano qui a quitté le Mexique pour venir travailler chez Coca à New-York et qu’on se retrouve sans emploi parce que notre usine a été délocalisée au fin fond de ce fichu Mexique d’où l’on s’est enfui? C’est ce que se demande Juanito au moment d’envoyer valdinguer une canette de la fameuse boisson. Sauf que la canette… se met à parler. C’est Dieu qui vit à l’intérieur… de son vrai nom James Dieu… créateur de la Terre et des hommes – une création particulière d’ailleurs, il s’en souvient encore James, un jour où il avait rendu tout son Label 5, il n’a pas bien compris comment, mais son vomi a donné naissance aux humains (ce qui prouve qu’il faut boire avec modération), même que les copains de l’époque avaient bien rigolé et que ca avait sacrément entaché sa réputation de buveur. Portrait craché d’Elvis période Las Vegas, rouflaquettes au vent et whisky sec dans les dents, éternel séducteur au baratin divin et bien rodé, il tombe à point nommé, celui-là. Juanito pense qu’il est sauvé. Ce n’est pas tous les jours qu’on trouve Dieu dans une cannette de Coca. Malheureusement, James Dieu ne se sent pas une âme de génie de la bouteille et ce monde, soyons honnête, il s’en contrefout grave… alors pas trop question d’y changer quoi que ce soit, hein… Fred Pontarolo cherche Dieu et le trouve… là où on ne l’attendait pas : dans une canette de Coca !En choisissant de raconter le quotidien banal d’un couple de jeunes chicanos de New-York, qui va faire la connaissance de Dieu (James Dieu, pour être exact), Fred Pontarolo signe une fable burlesque, acide et touchante sur ce début de millénaire particulièrement angoissé. Comment ne pas sombrer dans la dépression et la misère quand on est un petit Chicano qui a quitté le Mexique pour venir travailler chez Coca à New-York et qu’on se retrouve sans emploi parce que notre usine a été délocalisée au fin fond de ce fichu Mexique d’où l’on s’est enfui? C’est ce que se demande Juanito au moment d’envoyer valdinguer une canette de la fameuse boisson. Sauf que la canette… se met à parler. C’est Dieu qui vit à l’intérieur… de son vrai nom James Dieu… créateur de la Terre et des hommes – une création particulière d’ailleurs, il s’en souvient encore James, un jour où il avait rendu tout son Label 5, il n’a pas bien compris comment, mais son vomi a donné naissance aux humains (ce qui prouve qu’il faut boire avec modération), même que les copains de l’époque avaient bien rigolé et que ca avait sacrément entaché sa réputation de buveur. Portrait craché d’Elvis période Las Vegas, rouflaquettes au vent et whisky sec dans les dents, éternel séducteur au baratin divin et bien rodé, il tombe à point nommé, celui-là. Juanito pense qu’il est sauvé. Ce n’est pas tous les jours qu’on trouve Dieu dans une cannette de Coca. Malheureusement, James Dieu ne se sent pas une âme de génie de la bouteille et ce monde, soyons honnête, il s’en contrefout grave… alors pas trop question d’y changer quoi que ce soit, hein…